Une terre sans roi
Un cri dans la lumière
Je suis adolescent
Jérome
Je suis adolesccent mais je ne sais pas vivre
Je suis adolescent mais je ne sais pas vivre
Marcher toute la journée
Travailler toute la vie
Travailler toute la vie
Je suis adolescent mais je ne sais pas vivre
Je suis adolescent mais je ne sais pas vivre
Qu'importe, la vie est forte
La mort
Et je bois, je sniffe la drogue n'a plus de secret pour moi
Je suis adolesccent mais je ne sais pas vivre
Je suis adolescent mais je ne peut pas vivre
Qu'importe les autres
Qu'importe ce que que je pense
Je me fout de toi, je me fout de tout
Seul je m'interesse
Je suis adolescent mais je ne sais pas vivre
Je suis adolescent mais je ne peut pas vivre
Je suis adolescent mais je ne peut pas respirer
Je suis adolescent mais j'aimerai bien exister
Laissez moi une place
Laissez moi ma place
Laissez moi exister
Au nom de vos libertés
Je sais
Je suis adolescent mais je ne sais pas vivre
Je suis adolescent mais je ne peut pas vivre
Si le désespoir m'emporte
Ne m'en voulez pas
Si un jour je passe sous les rails
RER si noir
Je sais
Je suis adolescent mais je ne sais pas vivre
Je suis adolescent mais je ne peut pas vivre
Je suis adolescent mais je ne sais pas vivre
Qu'est ce qui peut m'attacher à la vie ici
Tout le monde se fout de moi
Tout le monde se fout de tout
L'amour sale je n'en veut pas
L'amour des autres je le crois pas
Je suis adolescent mais je ne sais pas vivre
Je suis adolescent mais je ne peut pas vivre
Je suis adolescent mais je ne veut pas vivre
Je suis adolescent mais je ne veut pas vivire
LIBERTE REVOLTE TERMINEE
Je ne veut pas obeir
Je ne vois pas pourquoi je le ferais
CRISE REVOLTE LIBERTE
LIBERTE
Je ne veut pas vivre
Alone
Jérome
Being invested by such an agony
Don't know what to do to react
Solutions ? I cant't find any
How am I supposed to act ?
It's not easy live taht way
Ther's nothing to say
Either way I'm trying to get out
I just fall out
Am I unable of doing anything ?
I feel totaly empty
You, my love, can you do anything ?
You, yes you, that I will love for eternity.
Cross Of Love
Jérome
From the darkness to the heavy sky
Walk on by, walk on through
She never saxw the paradise
She has to help all lovers
Because she's got the cross of love
All over the sky, under the underground
She goes always right, she does her job
And nobody could see her
She's here and works for us
She's got the cros of love
One day perhaps god will safe her
She's Jesus Chist sister and
Nobody knows her existance
but she's here and cry
I've got the cross of love
Dance around the hapiness
Jérome
Dance around the hapiness
Is it a dream where the sky is green
No, it's only you who can feel it
Dance around the hapiness is on your body
House
Dance around the hapiness
Fuite du temps present
Jérome
Sorti de mon lit, je revois ce ciel gris
Ces fumées noires, Ces lacs, cette écume grise
Ces murs rouges, ces réverbères
Des passagers somnambules gris et sans bouche
Ces coulors grouillants, balncs et silmencieux
Ces bureaux froids, ce soleil blanc
Fuite du temps présent
Espoir sans lendemain, rêve d'hier
Toute la terre habotée et souillée
Mer abîmée, Forêt violée
Politiciens armés, état corrompu
Papier de ce qu'on t'a volé :l'identité
Peuples opprimés, enfants battus
Fuite du temps présent
Vivre dans un deux pièces ici
A forêt verte je répond pétrochimie
Un havre de liberté, une table ronde
Une mauvaise terre, un espoir flamboyant
Tous chevaliers, prêts à donner
Fuite du temps présent
Love, Love, Love
Jérome
I love you my love
Love ! Love ! Love
Love is everywhere
In my neighboorhood wheen you're in there too
Over the valley, the ocean, the sea
All over the sky, the staries spheres
Within the confines of the galaxies
I will follow you everywhere
And if one of these days, you leave me
I will track you until the end of the world
And then you'll know, my love
How much i love you
OCTOBRE
Jacques Roubaud
Je suis sombre, je suis en cendres
dans mes timbales le temps sonne
je suis au désert et je jeûne
ma tête crie à faire esclandre
je me déchire et je m'adonne
aux routes froides sans rencontre
et rares airelles se montrent
à mes buissons ardents de feu
je suis en homme qu'on entame
avec la hache du soleil
je suis un homme sous les flammes
dans les pièges pris dans les deuils
la mort soumise se dévoue
elle me vient colporter l'ombre
que les étoiles désencombrent
le ciel en chemise debout !
ô mort j'ai souffert sur ta roue
j"ai su tes pointes lu tes nombres
j'ai goûté ta ta parole sombre
ramé le néant sur ta proue
je suis en homme qu'on entame
avec la hache du soleil
j'étouffe sous les nuits brouillées
je m'écorche aux heures rouillées
j'ai rêvé, presque pu descendre
seul au poignet de tes méandres
fleuve incurieux et dans tes eaux
j'ai voulu ne jamais renaître
l'oubli comme aux jeunes fenêtres
la main referme les rideaux
je suis un homme sous tes flammes
dans tes pièges pris dans tes deuils
je suis en homme qu'on entame
avec la hache du soleil
j'étouffe sous tes nuits brouillées
je m'écorche aux heures rouillées
Seul sous le soleil
Jérome
Seul sous le soleil j'écoute les oiseaux chanter
Le doux froufrou des feuilles des arbres
Au loin le car du village arrive
Je m'allonge sur l'herbe et m'endort
Les montagnes au loin
Décrivent des ondes grises et noires
Et les oiseaux toujours là sifflent à tu tête
Je me lève et vais marcher
Respirant l'air pur de la campagne
Le soleil m'éblouit
Et la sueur commence à dégouliner
Seul sous le soleil ...
Seul sous le soleil
Je m'endors lentement
La fatigue me gagne
Et la chaleur me cogne
Vivre libre dans une terre d'exil
Jérome
Si seulement on pouvait s'éloigner d'ici
S'en aller de la terre et de ses miasmes
Loin des étreintes de la vie sous-terraine
Loin des hommes avides et des regards vides
Vivre libre dans une terre d'exil
Un endroit où la vie n'a pas d'importance
Où la mort n'existe que quand elle foudroie
Une terre où la liberté n'est plus un mot
Et où les droits ne sont plus que des mots
Vivre libre dans une terre d'exil
Je veux vivre dans une terre
Où les chants ne sont que mélodies
Où la presse n'est que poésie
Et où les théories ne sont que des idées
Vivre libre dans une terre d'exil
Rome
Jérome
Chapitre 1 : Au bord de plage
Les yeux en l'air, pointés vers le ciel bleu marine, Remu scrutait l'horizon. Difficilement, il dégurgitait tout son repas du matin, où allongé sur l'herbe verte il avait evec Aziz englouti une bouteille de vodka turque. Il se sentait maintenant idiot et foisonné par les batteuses du temps, il se regardait le nombril. Finalement, c'était plus agréable tout à l'heure , avec Aziz. Et puis à quoi bon se saouler si c'est pour quelque heures après oublier les grands huits et le vertige de la gerbe. Souvent, il se demandait pourquoi il vivait . Il disait : "Si c'est pour boire et fumer, finalement c'est pas si désagréable et pas forçément si inutile que ça ." Aziz l'admirait dans ses reflexions, lui plus terre à terre avouait souvent le malaise qu'il avait à ne pas pouvoir s'exprimer par les mots. Il était muet. Depuis toujours, Remu et Aziz buvaient ensemble, au biberon, au verre ,au bar, dans l'herbe grasse et humide et à la bouteille aussi.
Une plage de temps s'était ouvert devant Remu, il hésitait à y entrer. Peureux de nature, sa philiosophie de la vie était une preuve de mauvaise foi parfaite. Et quand le jour viendrait où il faudrait se décider à mourrir, il s'était persuadé qu'il serait le premier a y aller car au fond la peur étant, l'espoir n'étant, il vallait mieux fonçer que de s'interroger.
Petit à petit, il se réveillait et sortant du comas repensait à toutes les occupations qu'il avait à réaliser. Cela lui faisait peur, et de loin il ne désirait qu'une seule chose, s'en fouttre plus que tout. Puis, le réalisme et le gout du vomi lui revinrent : il falait qu'il bouge. Trés rapidement, alors un peu comme un film des années 20 il se leva et courra en ne sachant que reflexivement où il mettait les pieds. Il s'asseya sur le banc de l'arrêt de bus, gratta une cigarette, ferma les yeux et repensa à ce qu'il avait fait le jour même : lver, manger, travailler et boire. Le bus arriva, il monta, colposta son ticket, et alla s'asseoir au fond là où les sièges sont mous et où les roures ne gènent pas les jambes. Il aimait regarder la route en sens inverse, il réfléchissait souvent à cela et se disait qu'il voyait plus de chose que les autres qui absorbent sans comprendre. Puis, il decendit au terminus avec tous les autres et s'engouffra dans le métro.
Aziz, lui était rentré chez lui depuis longtemps. Il habitait une petite rue bruyante du centre, il avait un peitit appartement, trés sombre, des livres, des habits et des assiettes pleines de vide nutrionnel consistuait l'essantiel de son mobilier. Il y avait un désordre peu commun, et accéder aux fenêtres était devenu impossible à cause de tout ce qu'il y avait dedans. L'odeur du tabc froid était fortement présente, c'était proche du fumier. Dans une peitie pièce il entreposait son matériel de peinture. Le white-spirit et l'alcool des marqueurs irritaientt les narines, et la chaleur aidant, tout faisait conduire l'hote vers la cuisine pour se rafraichir et sentir l'odeur du frigidaire vide. Aziz aimait cette ambiance : chaleur et nuit noire, cela lui permettait de faire n'importe quoi, personne ne le voyait, personne ne le sentait et grâce à cette organisation il ressemblait à l'homme invisible. Il aimait regarder la télévision et afin de se détruire encore plus aux yeux des autres, il ne la regardait que dans le noir, et ce qu'il préférait c'était mettre le son au maximum et regardait les plafonds multicolores. Remu disait de lui que c'était un glauque, lui préférait dire "goure" un mot qu'il avait formé de toute pièce.
Aziz assis devant cette télé aviat le ventre qui gargouillait terriblement et bière et cigarettes n'aidant pas il décida de se faire des oeufs sur le palt car c'était tout ce qu'il restait, mais au fond il savait bien que tout cela ne feraient qu'aiguiser son ventre car un oeuf c'est plus vite avaler qu'un morceau de pain.
Après ce repas court et si désespérant il entama une autre bière, et s'endorma sur son canapé, la télé et les paroles si engourdissantes.
Des deux hommes celui que je préférais était sans aucun doute le troisième,Tiffi. Futile, silencieux, inutile, et son regard si persistant nous faisiat tous croire que c'était le plus intelligent de nous tous. Pourtant il parlait peu et lorsqu'il l'ouvrait c'était toujours pour nous dire des banalités premières mais que nous écoutions avec grand soin car dites posément et surement elles respiraient la reflexion. On se disait alors que ces banalités étaient le pur bon sens et que lui seul pouvait l'avoir compris en forgeant son esprit des observations multiples qu'il collectionnait dans sa tête. De nous cinq aussi c'était le seul qui pouvait rester pendant deux mois en ne faisant que regarder la télé, manger et dormir.
Le cinquième était le plus fou, il avait déjà fait de la montagne , du golf, du vélo, des films d'horreur et il ne tenait pas en place. On s'arrétait pour boire et lui systématiquement disait : "Bon alors ...". Il parlait, il parlait sans s'arréter : c'était un brave gars mais lui disait les banalités car il les avait aprises. Il faisait tout par acquis de conscience et jamais par par imagination.Il se nommait Paulo.
Et le ciel toujours bleu chantait en dehors sa joie inéfable et malgré les petits nuages il savait bien que quoi il arrive ce serait lui qui resterait. Bien que Aziz dormait , Paulo fuyait, Remu gerbait et Tiffy pensait devant sa télé. Et moi , je ne sais pas ce qui m'a pris je uis allé me promener. " Bon , c''est pas tout ça mais il faudrait y aller ...".
Chapitre 2 : Partir ...
Le lieu : une ville perdue dans la campagne française, une ville plutôt un village sans âme qui se perd dans les rues noires et glauques le soir indien et malgré tout un village apréciable pour son calme et sa rigidité, c'est à dire que les gens soutenus par eux-mêmes ne connaissent rien des autres et n'en veulent pas savoir plus. Malgré tout un beau programme...
Le soleil est haut dans le ciel mais personne le voit car il est caché derrière les nuages, et au fond cela n'a pas beaucoup d'importance car il fait froid et que j'ai mal au coeur car enfermé par les murs ouverts je ne peut aller dehors , car il pleut. Du fin fond de ma mémoire je me rappelle les souvnirs passés, enregistrés et qui sait peut-être déjà transformés. Les questions fusionnent et je répond à chacune d'elle au fur et à mesure : Dieu existe , Le ciel est noir la nuit, le cassoulet n'est pas si mal en boîte et au fond le spâtes sont dexs délices inconsidérés quand on a faim. Mais en revanche le paté c'est pas la joie quand on a que ça a mangé. Mais bon il faut ce qu'il faut et qu'importe ... Ceci dit :
Alcool divin et parfois meurtri
Tu ne sert à rien quand
Par ta furreur de vie
Tu me ments.
Malgré la pluie et l'orage , la vie n'est plus ce qu'elle était et du loin du jour la poussière dans la pièce se divulgue dans l'air et les orgies précédentes puent ,putréfactions organiques et divines, mais de tout ça je devrais faire queleque chose : mais je me sens fatigué et je n'ai plus envie de vivre car il faut ranger.
Aziz sort de chez lui les yeux cathodifiés par la télé , et absorbés par la bière qu'inspire encore les poètes. Poètes de la vie, poètes inconnus que j'adore vers ce paradis er qui malgré la vie ddivine qu'il mènent rewte incompris. Sensation. Prise de conscience. Haine et Amour, je vous haie : je préfère l'indifférence de Tiffy qui derrière ses barreaux de la banalté r^ve de la petite Lucie qui crève quelque part d'une sale grippe. Et de son espoir je n'espère que sa joie de regagner un Dieu divin qui vers les rêves du cosmos divulgue vers la joie noire. Enfin, je m'abandonne et je perd ma conscience dans ces états d'esprit qui refusent ma présence autour d'eux. Montre moi le chemin, et promène ton coeur près du mien.
Paulo fait du sport mais mon dieu qu'il est con...
Enfin, demain on partira tous vers ces plaines d'Ecosse abimmées par le temps et les incendies obscurs des Vikings noircis par le temps.Pour y aller, on préfère prendre le bateau et affronter ces vagues profondes dans un grand paquebot. Rendez-vous à six heure demain matin.
Je rentre chez moi par les rues et contemple une dernière fois l'ocre orangée des vapeurs de sodium des lampadaires. Les immeubles sont grands et les fenêtre béantes, par ci par là , on entend des voix dans les immeubles qui se réfléchissent dans les fenêtres de leur voisin. On entend les télés chanter à tue-tête dans ces impasses obscures jonchées d'ordures. Je prend l'escalier en faisant attention aux excréments de ces animaux , soit disant meilleurs amis de l'homme , alors que si ils l'étaient et bien il ne feraient pas là. En haut je contemple une dernière fois cette bonne vierge qui nous reagrde illuminée comme si elle devait être fière d'avoir couchée avec le plus grand divin qui gardait son mystère, bêtise des hommes ou egoisme passionel d'une femme ? J'ouvre la porte et me vautre devant une de ses séries de la sixième chaine. Je commence à programmer : prendre une cigarette, une bière attendre la fin du programme et faire ses valises et puis accessoirement dormir...
Aziz, pendant ce temps là préparait minutieusement ses valises pour caser les quatre bouteilles de vodka et les deux litres d'alcool à 90°. Il y mettrait toute la nuit et demain qui serait là ?
Aprés ces nuits mouvementées nous voilà à la joliette devant un pétrolier : nous ne sommes plus que trois Moi, Aziz et Remu. Les autres avaient téléphonés : l'aventure très peu pour eux. Finalement on était pas déçu et on a pas insisté car une histoire à trois est plus facile à concevoir qu'une histoire à trente-six, hein lecteur?? Et déjà on se devait d'intitulé notyre périple : 60° liquide dans 5° gazeux pour 37° solide.
"Allez montez ...".